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Citad'elles, le féminin sans barreaux

À travers la création d’un magazine aux exigences professionnelles, il donne la parole à des femmes qui en ont toujours été privé.Il valorise et émancipe des personnes qui, jusque-là, pensaient qu’elles ne valaient rien . Citad’elles est un organe de presse indépendant à part entière, sans publicité et gratuit.

Parcours de femmes

Née en février 1995, l’association Parcours de femmes met en œuvre des actions d’accompagnement et d’aide à la réinsertion des femmes placées sous main de justice (incarcérées, sortantes de prison ou sous mesure judiciaire alternative à la prison)

L'ombre et la plume

L’Ombre et la Plume est une association créée par des étudiants de l’EDHEC qui, sans prétendre pourvoir répondre à l’ensemble des enjeux du milieu carcéral, a pour objectif de casser les préjugés auquel il est confronté, de faciliter la réinsertion des détenus mais aussi de leur redonner un but et de leur offrir une certaine ouverture sur le monde.

Le courrier de Bovet

Les personnes détenues ont eu des parcours de vie qui les ont placées temporairement à l’écart de la société. Elles conservent néanmoins les mêmes besoins essentiels que chacun d’entre nous : en particulier celui de continuer d’avoir des relations avec l’extérieur, qu’elles retrouveront pourtant changé à l’issue de leur libération.

Il est fondamental pour leur équilibre au quotidien tout autant que pour favoriser leur capacité à se réinsérer, qu’un lien fort, durable, et amical soit établi avec des personnes hors de leur univers. 

La mission du Courrier de Bovet est d’organiser une correspondance régulière, sous forme de lettres ou autres actions à venir, entre les personnes détenues et des correspondants extérieurs bénévoles de manière à construire et pérenniser ce lien social essentiel, dans un respect et une discrétion mutuels. Les bénévoles qui le souhaitent peuvent aussi s’impliquer plus concrètement encore en mettant en place des ateliers favorisant l’écriture au sein des établissements pénitentiaires.
 

Prison justice 44, préserver les liens

Parce que toute personne qui enfreint la loi ne peut être réduite à ses actes... parce que la société doit s’interroger quand ses règles sont transgressées... parce qu’une incarcération sera suivie un jour par une libération... ...Prison Justice 44 met ses valeurs et les actions de ses bénévoles au service du maintien des liens entre les personnes détenues, leur famille et leur tissu social, qui demeure une condition fondamentale de la réinsertion.

Marie-Odile Séveno Présidente de Prison Justice 44

La Cimade

La Cimade a été fondée en 1939 au sein des mouvements de jeunesse protestants. De sa mission initiale auprès des « évacués » de l’Alsace-Lorraine fuyant l’avancée nazie, elle a conservé son nom (dont la signification d’origine est « Comité Inter-Mouvements Auprès Des Évacués »), mais aussi un lien avec le monde protestant et surtout une fidélité aux valeurs et aux engagements de ses fondateurs.

Depuis plus de soixante ans, La Cimade a adapté son action aux enjeux de l’époque. Elle s’est engagée auprès des juifs menacés, a œuvré ensuite pour la réconciliation franco-allemande, s’est impliquée auprès des peuples du Sud en lutte pour l’indépendance et la décolonisation.

À partir de la fin des années 70, La Cimade s’implique de plus en plus en réaction aux projets de loi réduisant les droits des immigrés. La grève de la faim en 1981 et la marche pour l’égalité et contre le racisme renforcent le positionnement politique de l’association. Fidèle à ses principes, La Cimade entre dans les centres de rétention en 1984, pour y venir en aide aux étrangers reconduits. Tout au long de son histoire, La Cimade est restée un mouvement engagé sans se satisfaire d’une simple posture caritative.

Art et prison

Art et Prison France est une association dont l’objectif est de promouvoir la création artistique en prison. Créant une passerelle entre les détenus et la société, nous souhaitons inciter cette dernière à porter un regard nouveau sur les personnes incarcérées. Pour réaliser cet objectif, nous développons diverses activités comme l’organisation d’expositions et de soirées débats. Nous soutenons également les ateliers artistiques qui se déroulent en milieu carcéral. L’ambition qui nous anime est ainsi de faciliter la réinsertion par le biais de l’art et de la culture.

Association EXIT

Ce site est destiné à informer tout public sur le fonctionnement actuel des prisons françaises, sans misérabilisme mais avec la volonté de souligner les impasses actuelles de la détention, dans son fonctionnement même. 

L’association EXIT a été créée à Montpellier le 10 février 2000. Elle a pour objet d’œuvrer en faveur de la réinsertion psychosociale des personnes sortant de prison : 

- en leur proposant dès leur libération un service d’accompagnement social et/ou psychologique afin de tendre vers une restauration de l’individu lui permettant d’atteindre une autonomie

- en menant auprès du grand public des actions d’information permettant de réduire le réflexe de rejet envers les sortants de prison 

Aurore Association

Soleillet est un centre d’hébergement et de réinsertion sociale qui accueille des femmes seules, ou avec enfants, sortant directement de détention. Des places dans la structure commune, ou en appartements diffus, sont proposées afin d’accueillir et d’accompagner ces femmes jusqu’à une réinsertion préparée avec leur participation active.

Aux oubliées

 

Aux oubliées est une initiative qui a pour but de distribuer des livres, personnalisés par un mot, une lettre, une inscription de cadeau à des femmes en prison. Les donateurs sont vous, nous, des personnalités du monde des arts, de la politique, du sport, des entrepreneurs mais surtout des inconnus, tous ceux qui ont envie de faire un don à des femmes privées de tout.

Le Genepi

Le Genepi est une association féministe et anticarcérale qui lutte contre tous les systèmes d’enfermement, qu’ils soient reconnus ou non comme tels par l’Etat (établissements pénitentiaires, centres de rétention administrative, centres éducatifs fermés, mesures judiciaires, etc.). Nous proposons un espace d’organisation collective entre meufs pour penser à la fois la lutte féministe et la lutte anticarcérale.

Le Genepi était pendant près de 40 ans un outil docile de l’administration pénitentiaire (voir section Histoire de l’association). Nous avons rompu les liens avec les institutions, et le Genepi n’intervient plus en détention depuis 2019.

Le but de l’association est de porter le discours anticarcéral dans le plus d’espaces possibles et de se porter en solidarité avec les luttes anticarcérales.

Les actions de l’association sont diverses et tournent autour de quatre axes :

*les formations : former les militantes à l’anticarcéralisme, proposer et échanger des ressources;

*la “sensibilisation du public” : porter l’anticarcéralisme dans divers espaces (écoles, collèges, lycées, milieux féministes etc.) et par l’organisation d’une journée anticarcérale;

*l’écriture et la publication de notre Zine, le Pierre par Pierre ;

*la solidarité avec les proches de prisionier.e.s.

Carcéropolis

Comment fonctionnent les prisons françaises ? Comment se définit la population carcérale (et la surpopulation) ? Quels sont le sens et l’efficacité en terme de récidive des peines d’emprisonnement ?

A travers un ensemble de ressources multimédia, Carceropolis souhaite présenter une vision « réaliste » de l’univers carcéral, loin des caricatures et de l’imagerie qui font rimer banditisme et romantisme, exclusion et dissuasion. Notre objectif est de sensibiliser le grand public à ces questions, de donner un certain nombre de clefs pour que chacun puisse mener sa réflexion.

A l’origine du projet, l’engagement bénévole de citoyens, sans lien apparent avec la prison, mais convaincus que ce sujet central du vivre ensemble mérite mieux que les éphémères feux de la rampe médiatique. Ce projet n’aurait pas pu avoir lieu sans le soutien et la mise à disposition des œuvres des auteurs, réalisateurs et producteurs, ainsi que l’engagement des acteurs associatifs. Qu’ils en soient ici vivement remerciés.

L'ilôt

PERMETTRE LA RÉINSERTION DE PERSONNES AYANT CONNU LA PRISON OU SOUS MAIN DE JUSTICE ET DES PERSONNES EN SITUATION DE DÉTRESSE.

Que ce soit pour des personnes ayant eu affaire à la justice ou en aménagement de peine, ou encore celles en grande précarité, l’Îlot intervient pour les accompagner sur le chemin de la réinsertion.

Cela passe en premier lieu par un accueil que nous souhaitons inconditionnel.
Pour les personnes sans solution d’hébergement nous leur offrons un toit dans un de nos centre d’hébergement ou de réinsertion sociales, ou au CHU d’Amiens pour les situations d’urgence.
Ensuite, toute personne accueillie dans un établissement de l’Îlot sera suivie par un travailleur social pour élaborer avec elle un projet individualisé et travailler tous les aspects de la réinsertion.

Ban Public

Ban public est la première étape de la réalisation d’une promesse faite à d’anciens compagnons, amis. La volonté de ne pas cesser de lutter en sortant. Et le serment était d’autant plus impossible à oublier que la peine et l’enfermement continuaient même dehors. Pour le reste ce fût une série de belles rencontres, d’énergies, d’envies communes, pour réunir en un seul lieu toutes les sources d’information sur la prison. Ban Public naît durant l’hiver 1999 de ce besoin de dire, de rompre le silence.

Objectif double :

- Créer une plate-forme d’information et de réflexion accessible et pédagogique, le site ayant pour objet l’échange et la production d’information et, plus globalement, la mise en relation de celles et ceux qui travaillent sur les prisons et pour les détenu(e)s.

- Accroître la visibilité du problème de la détention et sensibiliser le grand public à ces questions.